Il y a de cela 6 mois, j’ai eu l’intuition très forte, et je dirais même un appel de l’âme à entamer l’école d’Auxiliaire de Puériculture à Nice.
J’ai l’intime conviction, que notre Mission de Vie se dévoile au fur et à mesure, que nous passons certaines étapes, qui nous mènent à chaque fois vers des nouvelles expériences, qui vont servir à réaliser cette mission, cela depuis notre naissance. J’ai compris que la patience, et la confiance était les maîtres mots.
Comme j’ai lu récemment dans le livre Message de l’aube, de Barbara Marciniak : « Nous sommes toujours au bon endroit, au bon moment. »
Ainsi l’Univers nous guide exactement là où nous devons être, si seulement nous savons suivre nos appels intérieurs.
Pour ma part, cela a été un virage à 360 degrés, j’ai déménagé en ville, changé de région, entamé une vie en collocation, retour à la vie étudiante pour 6 mois, retour dans « les soins standards » (hôpital…).
Sortir de ma zone de confort n’a pas été simple du tout, mais je suis ravie avec un peu de recul, car je m’ennuyais, je dépérissais dans ma vie d’avant. Je suis de ces gens qui ont besoin de nouveauté, d’apprendre, d’avancer… Je suis une fonceuse, j’aime me fixer des challenges, avoir des projets, pousser mes limites, j’adore ! 🙂
En entrant à l’école d’auxiliaire de puériculture, j’avais la curiosité d’aller en maternité, comme 90 % des femmes qui font cette école. Je voulais être auprès des bébés et des familles.
Ce que j’aime de manière générale dans la vie, et ce qui m’inspire, c’est observer. Là, j’ai pu observer le monde médical, l’accompagnement à la naissance dans une certaine dimension, c’était enrichissant et aussi très percutant.
L’hôpital où j’étais est classé, renommé (je ne le nommerai pas par sécurité), il a un « haut niveau de soin », très médicalisé donc.
La maternité, elle est en chemin vers un label en lien avec les soins : il y a effectivement un accompagnement par rapport à l’allaitement : ce qui est vraiment super. J’ai adoré cette thématique.
Il y a aussi depuis un an, ce qu’on appelle le peau-à-peau, les bébés à leur naissance sont mis contre leur maman, contrairement à avant où on les enlevait. Ils se sont rendu compte de bienfaits de laisser bébés avec Maman dans les premiers temps de la naissance. Merveilleux !
D’ailleurs, j’ai pu voir un accouchement en direct, épisiotomie (c’était un peu hard pour mon petit cœur fragile), et bébé qui cherchait le sein à peine sorti du ventre de sa Maman. Cet instinct naturel est tout à fait fascinant !
J’ai été tellement émue par ce moment, le Miracle de la Vie dans toute sa splendeur.
Seulement mon regard a aussi vu une facette, qui m’a été difficile à observer, car bien plus obscure…
J’ai vu la SUR-médicalisation des naissances, la standardisation de celles-ci.
J’ai vu une sur-abondance de protocoles entrainant une déshumanisation.
J’ai vu l’effet tobogan dont parles Ema Krusi : « L’effet Toboggan, c’est l’enchaînement, de gestes, d’actions, mises en œuvre par les soignants à la. maternité qui mène à une issue qui aurait pu être. évitée si la physiologie avait été respectée. »
J’ai vu l’incohérence complète des soignantes prônant l’absence de crème pour les bébés, mais a contrario leur injectent une « nouvelle immunisation pour la bronchiolite » à deux jours de vie. Si l’on regarde la boîte, on peut voir le laboratoire Astra–Zeneka (en latin : astra = étoiles ; neca = tuer). Vous pouvez trouver sur internet, sur les sites officiels, les composés. Ce n’est pas glorieux.
Référence du Vidal : suivre ce lien. Composants :
Beyfortus 100 mg solution injectable en seringue préremplie
Chaque seringue préremplie contient 100 mg de nirsévimab dans 1 mL (100 mg/mL).
Le nirsévimab est un anticorps monoclonal humain de type immunoglobuline G1 kappa (IgG1κ) produit dans des cellules d’ovaires de hamster chinois (CHO) par la technologie de l’ADN recombinant. »
J’ai vu des médecins ignorants les vertus de l’allaitement, de l’alimentation saine et vivante, des lois de régénération du corps. Prônant une médecine chimique exclusive.
J’ai vu à quel point l’espace sacré, de la maman et bébé, n’est ni vu, ni compris, ni respecté. Il est même bafoué, négligé. Non pas par malveillance des soignantes, mais par ignorance.
J’ai vu le manque de temps, de moyens, de ressources, d’informations des mamans, qui en trois jours doivent tout assimilé, se retrouvant à la maison parfois seule. Les dépressions post-partum touchent 15 à 20% des femmes en France.
J’ai vu la méconnaissance/absence des dimensions psychologiques, spirituelles et énergétiques liées à la naissance.